Les prêches régulières
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Les prêches régulières
Mes frères,
Voyez, voyez comme nous avions prévu et prévenu. Le Bien et le Mal ne peuvent se confondre, leur accouplement contre nature, ne peut engendrer que le mal.
"L'Être Suprême" ne peut créer le mal. Sa main ne peut donner la vie qu'à des "Parfaits", qui choisissent le chemin de la vérité, de l'honneur, de la justice et de l'humilité.
Voyez, comme tous ont semé le trouble, mes frères! Le pouvoir corrompt l'âme! L'homme mauvais est prêt à tout pour l'avoir et quand il l'a, il ne veut plus le céder ... Pendant que le peuple n'a pas de Coms, les caisses se vident, les seigneurs se partagent les privilèges et les prêtres d'Aristote s'octroient de nouveaux titres, tout en obtenant des décrets qui conforte encore plus leurs positions sur nos terres. Victime et coupable désigné, c'est au peuple que les dirigeants font assumer leurs erreurs en augmentant les impôts.
Voyez mes frères, le temps des corbeaux, des sorts lancés, des mauvais augures et des prophéties, renaît. Le Mal n'engendre que le Mal, tout ce qu'il est de plus vil en l'homme refait surface.
Patience, protégeons nous mes frères, veillons les uns sur les autres, comme nous l'avons toujours fait. Que de Celui que nous implorons chaque jour, revienne une aire de paix et de stabilité, qu'Il donne à chaque homme et chaque femme, la joie d'accueillir en lui "L'Être Suprême".
Le temps viendra où les bons arbres donneront de bons fruits. C'est par le travail et la patience que le "Bon Homme" entretient le don de "L'Être Suprême". Ce n'est pas Aristote qui fait pousser les arbres, ni la pluie tomber du ciel, c'est notre labeur qui rend le sol fertile, mes frères. Croyez en vous et vous attendrez moins de lui.
Que votre vie soit prospère et fertile, qu'elle vous comble, ainsi que vos proches.
Voyez, voyez comme nous avions prévu et prévenu. Le Bien et le Mal ne peuvent se confondre, leur accouplement contre nature, ne peut engendrer que le mal.
"L'Être Suprême" ne peut créer le mal. Sa main ne peut donner la vie qu'à des "Parfaits", qui choisissent le chemin de la vérité, de l'honneur, de la justice et de l'humilité.
Voyez, comme tous ont semé le trouble, mes frères! Le pouvoir corrompt l'âme! L'homme mauvais est prêt à tout pour l'avoir et quand il l'a, il ne veut plus le céder ... Pendant que le peuple n'a pas de Coms, les caisses se vident, les seigneurs se partagent les privilèges et les prêtres d'Aristote s'octroient de nouveaux titres, tout en obtenant des décrets qui conforte encore plus leurs positions sur nos terres. Victime et coupable désigné, c'est au peuple que les dirigeants font assumer leurs erreurs en augmentant les impôts.
Voyez mes frères, le temps des corbeaux, des sorts lancés, des mauvais augures et des prophéties, renaît. Le Mal n'engendre que le Mal, tout ce qu'il est de plus vil en l'homme refait surface.
Patience, protégeons nous mes frères, veillons les uns sur les autres, comme nous l'avons toujours fait. Que de Celui que nous implorons chaque jour, revienne une aire de paix et de stabilité, qu'Il donne à chaque homme et chaque femme, la joie d'accueillir en lui "L'Être Suprême".
Le temps viendra où les bons arbres donneront de bons fruits. C'est par le travail et la patience que le "Bon Homme" entretient le don de "L'Être Suprême". Ce n'est pas Aristote qui fait pousser les arbres, ni la pluie tomber du ciel, c'est notre labeur qui rend le sol fertile, mes frères. Croyez en vous et vous attendrez moins de lui.
Que votre vie soit prospère et fertile, qu'elle vous comble, ainsi que vos proches.
Dernière édition par Le penseur le Ven 4 Mar - 22:39, édité 2 fois
Le Penseur- Parfait
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Age : 48
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La PERTURBATION
Mes frères,
Prions ensemble pour que nous puissions sortir de ces jours sombres où les actes de brigandages se font de plus en plus nombreux.
Pendant "La Perturbation", dans le royaume céleste un trou vint apparaître, le malin y tomba et de nombreux anges le suivirent soit par choix, trompés qu'ils avaient été par le faux Dieu, soit par ce qu'ils furent précipités contre leur gré. Le Démon pour leur faire oublier qu'ils étaient anges, leur donna une enveloppe charnelle. Certains gardèrent leur âme pure et les autres qui avaient choisi de suivre la voix du Diable devinrent de mauvais hommes.
C'est ainsi, que le Bien et le Mal se retrouvèrent sur terre.
Vous "Bons Hommes" avez été bénis et avez reçu le "Consolamentum" (unique sacrement cathare qui consiste à l'imposition des mains, faisant office de baptême, de "mariage" bien qu'il n'existait pas chez les cathares et d'extrême onction. Les mourants devaient purifier leur âme, afin de ne pas se réincarner), quand aux autres ils ont suivi les pas du malin et du faux Dieu Aristote.
Faut-il blâmer les brigands mes frères? Depuis la Perturbation, nous sommes prédestinés, nous naissons bons ou mauvais ... Ces brigands qui nous terrorisent tous, ne font que suivre leur destinée et ne sont poussés que par les nantis et privilégiés, les nobles seigneurs et prêtres aristoléliciens, qui nous affament. Le peuple souffre et gronde mais tous restent sourds à nos suppliques.
Quand nous prônons le travail et le profit, ils ne parlent que de lois et d'interdits. Nous maintenir dans un état de pauvreté leur permet de conserver leurs privilèges et les titres auxquels ils s'accrochent, sans vouloir que d'autres puissent s'élever.
Ne soyons pas surpris mes frères, si nous devons subir autant de méfaits et réjouissons nous que "L'Être Suprême" continue d'habiter nos cœurs.
Que votre vie soit prospère et fertile, qu'elle vous comble ainsi que vos proches.
Dernière édition par Le Penseur le Dim 6 Mar - 1:28, édité 3 fois
Le Penseur- Parfait
- Messages : 94
Date d'inscription : 22/10/2010
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Localisation : Albi
Protection Comtale
Tu as récompensé notre patience et a daigné mettre fin à nos peurs et nos souffrances.
Humblement, nous Te remercions d'avoir entendu nos prières. Enfin, librement, nous porterons plus haut et plus fort encore Ta bonne parole et Tes enseignements. Plus jamais nous n'aurons à craindre de l'Église.
Nous te remercions de Tes bienfaits et nous T'honorerons jusqu'au jour dernier où Tu nous rappelleras à Toi.
Nous Te rendons grâce, de mettre tant de joie en nos cœurs.
Humblement, nous Te remercions d'avoir entendu nos prières. Enfin, librement, nous porterons plus haut et plus fort encore Ta bonne parole et Tes enseignements. Plus jamais nous n'aurons à craindre de l'Église.
Nous te remercions de Tes bienfaits et nous T'honorerons jusqu'au jour dernier où Tu nous rappelleras à Toi.
Nous Te rendons grâce, de mettre tant de joie en nos cœurs.
Dernière édition par Le Penseur le Sam 5 Mar - 20:20, édité 2 fois
Le Penseur- Parfait
- Messages : 94
Date d'inscription : 22/10/2010
Age : 48
Localisation : Albi
Genèse
Il y avait à la base un esprit, un désir d’élévation et de pureté. Parmi nos contemporains, certaines personnes ayant fait un saut de l’autre côté de la Méditerranée, ont ramené des écrits, des textes qui ont été traduits et, dans ces textes, nous retrouvons l’essence de la Parole des évangiles, mais surtout de l’esprit d’un apôtre en particulier.
Il est raconté qu'à l’époque il était le seul à avoir véritablement connu Aristote. Dans la recherche de pureté et d’élévation de l’âme, ceux et celles qui avaient foi en un avenir meilleur se sont attachés à vouloir intégrer dans leur vie quotidienne les messages de cet évangile. Ces préceptes, vous les connaissez, il s’agissait de l’humilité et de la vérité. Nous étions intéressés, interpellés à demeurer dans le cœur, dans l’ouverture à l’autre.
Il a été dit que nous pratiquions pour certains la chasteté, mais en fait ce qui était prêché c’était le respect du cœur comme temple de l’Esprit. Cet Esprit que nous vénérions était celui qui a été transmis à la Pentecôte, celui dont s’étaient emparés les prêtres et l’Eglise comme étant les seuls à pouvoir dispenser la grâce.
Or, à travers ces textes que nous avions reçus, qui avaient été préservés sans avoir été soumis à la censure de l’Eglise, nous avons reconnu les vrais enseignements, ceux qui prônent l’égalité, la solidarité, la fraternité, la bonté, mais surtout l’ouverture à l'"Etre Suprême" présent dans chacun et chacune.
Cet Esprit s’est répandu, a été partagé. A l’époque, il n’y avait pas de structures, il n’y avait pas de châteaux forts, il n’y avait que les êtres humains en quête de la vérité qui transforme. Il n’y avait que des hommes et des femmes en quête de la grâce divine, de l’amour de Dieu, d’un cœur à cœur avec le passé évangélique.
Peu à peu, les écrits ont été analysés, réfléchis, certains ont essayé d’instaurer d’autres règles, d’autres dogmes. Ils ont créé, dans leur désir d’élévation, une tour d’ivoire autour d’eux-mêmes. Ces êtres, qui aspiraient à goûter à la plénitude divine, ont fini par croire que seul l’Esprit était bon et que la chair était mauvaise car elle entraînait la chute, car elle empêchait la maîtrise de l’Esprit.
Il y a donc ceux qui se sont instaurés à leur tour comme détenteurs de la vérité, faisant de leur mieux, se réunissant, devenant solidaires pour se retirer peu à peu du monde de la tentation, de la chute. S’ils étaient demeurés connectés à l’Esprit d’évangile, ils auraient su que tout est bon et que tout est juste en ce monde, mais en voulant prendre du recul, en devenant à leur tour une structure, une religion, ils ont adopté une position dogmatique et extrémiste qui leur a valu des représailles de l’Église.
De la même façon par la suite, les troubadours se sont eux aussi campés dans une position radicale, mais à l’autre bout du spectre. Ils ont vénéré l’amour humain, divinisant le corps de la femme et recherchant, dans les jeux de séduction, un lien vers la plénitude du soi. Tout comme nous, ils avaient une vision limitée de l’amour : les premiers prêchant l’abstinence et les autres l’excès… plutôt que le véritable équilibre de l’âme ET de la chair.
Dans l’évangile, c’est vraiment dans l’amour des uns et des autres que nous retrouvons le chemin vers le divin : c’est dans l’amour de soi, dans le respect de nos besoins, de notre liberté, de nos choix, de ce corps qui nous a été prêté, que nous trouvons le contact du retour à l’origine de qui nous sommes réellement.
Vous qui aspirez à connaître les enseignements, il va de soi que vous cherchez à goûter à cet absolu qu’est l’amour divin présent en toute chose, présent dans toute vie ; non pas dans le sacrifice, l’abstinence et le refus de soi, mais bien par l’ouverture aux autres par la fusion de cœur à cœur entre humains, entre frères et sœurs non seulement en tant qu’hommes et femmes mais en tant que frères solidaires poursuivant les mêmes buts, recherchant à atteindre le même paradis, aspirant à goûter au bonheur à chaque instant.
Nombreux sont ceux qui ont recherché les trésors croyant que ce qui pouvait mener à la joie était la possession, les avoirs de ce monde, les richesses illusoires des grands seigneurs. En vérité ce que nous avons tenté de protéger ce sont les textes d’origine, ceux qui n’avaient pas été retouchés, ceux qui n’avaient pas été censurés et qui présentaient les paroles de celui que vous appelez le Messie et qui nous invitaient à retrouver l’amour, qui nous expliquaient que de vie en vie, d’existence en existence, nous poursuivons toujours ce même but, cette même quête de faire l’équilibre entre l’humain et le divin en nous-mêmes.
Que votre vie soit prospère et fertile, qu'elle vous comble, ainsi que vos proches.
Il est raconté qu'à l’époque il était le seul à avoir véritablement connu Aristote. Dans la recherche de pureté et d’élévation de l’âme, ceux et celles qui avaient foi en un avenir meilleur se sont attachés à vouloir intégrer dans leur vie quotidienne les messages de cet évangile. Ces préceptes, vous les connaissez, il s’agissait de l’humilité et de la vérité. Nous étions intéressés, interpellés à demeurer dans le cœur, dans l’ouverture à l’autre.
Il a été dit que nous pratiquions pour certains la chasteté, mais en fait ce qui était prêché c’était le respect du cœur comme temple de l’Esprit. Cet Esprit que nous vénérions était celui qui a été transmis à la Pentecôte, celui dont s’étaient emparés les prêtres et l’Eglise comme étant les seuls à pouvoir dispenser la grâce.
Or, à travers ces textes que nous avions reçus, qui avaient été préservés sans avoir été soumis à la censure de l’Eglise, nous avons reconnu les vrais enseignements, ceux qui prônent l’égalité, la solidarité, la fraternité, la bonté, mais surtout l’ouverture à l'"Etre Suprême" présent dans chacun et chacune.
Cet Esprit s’est répandu, a été partagé. A l’époque, il n’y avait pas de structures, il n’y avait pas de châteaux forts, il n’y avait que les êtres humains en quête de la vérité qui transforme. Il n’y avait que des hommes et des femmes en quête de la grâce divine, de l’amour de Dieu, d’un cœur à cœur avec le passé évangélique.
Peu à peu, les écrits ont été analysés, réfléchis, certains ont essayé d’instaurer d’autres règles, d’autres dogmes. Ils ont créé, dans leur désir d’élévation, une tour d’ivoire autour d’eux-mêmes. Ces êtres, qui aspiraient à goûter à la plénitude divine, ont fini par croire que seul l’Esprit était bon et que la chair était mauvaise car elle entraînait la chute, car elle empêchait la maîtrise de l’Esprit.
Il y a donc ceux qui se sont instaurés à leur tour comme détenteurs de la vérité, faisant de leur mieux, se réunissant, devenant solidaires pour se retirer peu à peu du monde de la tentation, de la chute. S’ils étaient demeurés connectés à l’Esprit d’évangile, ils auraient su que tout est bon et que tout est juste en ce monde, mais en voulant prendre du recul, en devenant à leur tour une structure, une religion, ils ont adopté une position dogmatique et extrémiste qui leur a valu des représailles de l’Église.
De la même façon par la suite, les troubadours se sont eux aussi campés dans une position radicale, mais à l’autre bout du spectre. Ils ont vénéré l’amour humain, divinisant le corps de la femme et recherchant, dans les jeux de séduction, un lien vers la plénitude du soi. Tout comme nous, ils avaient une vision limitée de l’amour : les premiers prêchant l’abstinence et les autres l’excès… plutôt que le véritable équilibre de l’âme ET de la chair.
Dans l’évangile, c’est vraiment dans l’amour des uns et des autres que nous retrouvons le chemin vers le divin : c’est dans l’amour de soi, dans le respect de nos besoins, de notre liberté, de nos choix, de ce corps qui nous a été prêté, que nous trouvons le contact du retour à l’origine de qui nous sommes réellement.
Vous qui aspirez à connaître les enseignements, il va de soi que vous cherchez à goûter à cet absolu qu’est l’amour divin présent en toute chose, présent dans toute vie ; non pas dans le sacrifice, l’abstinence et le refus de soi, mais bien par l’ouverture aux autres par la fusion de cœur à cœur entre humains, entre frères et sœurs non seulement en tant qu’hommes et femmes mais en tant que frères solidaires poursuivant les mêmes buts, recherchant à atteindre le même paradis, aspirant à goûter au bonheur à chaque instant.
Nombreux sont ceux qui ont recherché les trésors croyant que ce qui pouvait mener à la joie était la possession, les avoirs de ce monde, les richesses illusoires des grands seigneurs. En vérité ce que nous avons tenté de protéger ce sont les textes d’origine, ceux qui n’avaient pas été retouchés, ceux qui n’avaient pas été censurés et qui présentaient les paroles de celui que vous appelez le Messie et qui nous invitaient à retrouver l’amour, qui nous expliquaient que de vie en vie, d’existence en existence, nous poursuivons toujours ce même but, cette même quête de faire l’équilibre entre l’humain et le divin en nous-mêmes.
Que votre vie soit prospère et fertile, qu'elle vous comble, ainsi que vos proches.
Dernière édition par Le penseur le Ven 4 Mar - 23:28, édité 1 fois
Le Penseur- Parfait
- Messages : 94
Date d'inscription : 22/10/2010
Age : 48
Localisation : Albi
Redonner l'Espoir
Mes Frères,
Voyez donc le commerce que l'Église entretient avec le Malin.
Lors de la "Perturbation", le faux prophète Aristote ouvrit le ciel, créa le monde, trompa les anges et les attira sur terre. Il prétendait qu'il valait mieux y résider, puisque les anges auraient la possibilité de faire le Bien et le Mal, contrairement aux cieux où l'Être Suprême ne leur permettrait que le Bien. Pour les abuser d'avantage, et leur faire oublier qu'ils étaient anges, il leur donna une enveloppe charnelle.
A vous qui doutez, ne croyez pas ou ne croyez plus, je viens rappeler l'espoir.
A tous ceux qui peinent au labeur en se demandant pourquoi, à ceux qui ne peuvent plus se contenter de croire au culte trompeur, "La Maison" est ouverte.
Gueuses et gueux, gentes dames ou nobles seigneurs, l'Être Suprême vous montrera le chemin du "Bien" et vous connaîtrez la sérénité. Libérés de chaînes ancestrales, vous pourrez vous affranchir du poids de votre vie.
L'homme n'est qu'enveloppe et le monde illusoire, dans la raison et la foi envers le Créateur, nous saurons purifier nos âmes et retourner à notre état céleste originel.
Souvenez vous, mes frères, que chaque Homme fut un ange et que le miel dont nous abreuve le malin est fatal.
Que votre vie soit prospère et fertile, qu'elle vous comble ainsi que vos proches.
Voyez donc le commerce que l'Église entretient avec le Malin.
Lors de la "Perturbation", le faux prophète Aristote ouvrit le ciel, créa le monde, trompa les anges et les attira sur terre. Il prétendait qu'il valait mieux y résider, puisque les anges auraient la possibilité de faire le Bien et le Mal, contrairement aux cieux où l'Être Suprême ne leur permettrait que le Bien. Pour les abuser d'avantage, et leur faire oublier qu'ils étaient anges, il leur donna une enveloppe charnelle.
A vous qui doutez, ne croyez pas ou ne croyez plus, je viens rappeler l'espoir.
A tous ceux qui peinent au labeur en se demandant pourquoi, à ceux qui ne peuvent plus se contenter de croire au culte trompeur, "La Maison" est ouverte.
Gueuses et gueux, gentes dames ou nobles seigneurs, l'Être Suprême vous montrera le chemin du "Bien" et vous connaîtrez la sérénité. Libérés de chaînes ancestrales, vous pourrez vous affranchir du poids de votre vie.
L'homme n'est qu'enveloppe et le monde illusoire, dans la raison et la foi envers le Créateur, nous saurons purifier nos âmes et retourner à notre état céleste originel.
Souvenez vous, mes frères, que chaque Homme fut un ange et que le miel dont nous abreuve le malin est fatal.
Que votre vie soit prospère et fertile, qu'elle vous comble ainsi que vos proches.
Le Penseur- Parfait
- Messages : 94
Date d'inscription : 22/10/2010
Age : 48
Localisation : Albi
Re: Les prêches régulières
Elle avait pris l'habitude de venir l'écouter et chaque fois ,elle repartait un peu plus sereine,chaque mot lui apportant la conviction qu'elle était sur le bon chemin...
Séléna- Soeur
- Messages : 71
Date d'inscription : 28/02/2011
Localisation : Saint Bertrand de Comminges
Re: Les prêches régulières
Mes Frères,
A vous les quelques rares et trop peu nombreux fidèles, à vous "Bons Hommes", qui avez choisi du suivre le chemin du Bien et de la lumière, je veux rappeler de ne pas vous laisser envahir par la peine et la tristesse.
La naissance n'est que le prémisse de la mort. Chaque disparition, chaque perte, n'est qu'un renouveau. Chaque souffle qui s'éteint en appelle un autre.
Malgré la douleur qui opprime les cœurs de ceux qui restent, soyez sûrs que l'âme pure quitte son enveloppe charnelle et s'élève dans le royaume céleste pour rejoindre l'Être Suprême.
Heureux les hommes et femmes de Bien, qui peuvent connaître à nouveau Ses bienfaits. Oui, heureux, mes Frères, car dans les cieux sous Son règne, nul ne subit la colère ou le Mal, nul ne peut être victime ou opprimé.
Prions pour que nos semblables puissent eux aussi, comme nous, connaître la joie et la félicité. Prions pour qu'ils ne connaissent plus jamais la peur. En effet, nous ne connaissons pas l'inquiétude car notre foi infaillible, nous soulage du poids de notre vie et de notre mort.
Le cœur pur ne connaît pas le doute, ni la mélancolie. Le "Bon Homme" se réjouit chaque matin d'avoir une nouvelle opportunité de soulager son prochain. Lorsqu'il regarde derrière lui, il a la récompense d'avoir agi avec honnêteté et sincérité. Lorsque s'annonce le soir de sa vie, il n'éprouve nul remord, ni regret.
La conscience légère et l'âme sereine, il peut se réjouir que ses actes n'ont pas été vains et inutiles. Il sait que le Divin l'accueillera dans un monde de justice et d'amour, où tous sont semblables et égaux pour l'éternité.
Ne faiblissez pas mes Frères, quelque soit l'épreuve qui nous attend, Il guide notre destin, Il reconnaît les siens et veille sur eux avec clémence et bienveillance.
Père Saint, Dieu juste des bons esprits, toi qui jamais ne te trompes, ni ne mens, ni ne doutes — de peur d’éprouver la mort dans le monde du dieu étranger, puisque nous ne sommes pas du monde et que le monde n’est pas de nous — donne-nous à connaître ce que tu connais et à aimer ce que tu aimes.
Que votre vie soit prospère et fertile, qu'elle vous comble, ainsi que vos proches.
A vous les quelques rares et trop peu nombreux fidèles, à vous "Bons Hommes", qui avez choisi du suivre le chemin du Bien et de la lumière, je veux rappeler de ne pas vous laisser envahir par la peine et la tristesse.
La naissance n'est que le prémisse de la mort. Chaque disparition, chaque perte, n'est qu'un renouveau. Chaque souffle qui s'éteint en appelle un autre.
Malgré la douleur qui opprime les cœurs de ceux qui restent, soyez sûrs que l'âme pure quitte son enveloppe charnelle et s'élève dans le royaume céleste pour rejoindre l'Être Suprême.
Heureux les hommes et femmes de Bien, qui peuvent connaître à nouveau Ses bienfaits. Oui, heureux, mes Frères, car dans les cieux sous Son règne, nul ne subit la colère ou le Mal, nul ne peut être victime ou opprimé.
Prions pour que nos semblables puissent eux aussi, comme nous, connaître la joie et la félicité. Prions pour qu'ils ne connaissent plus jamais la peur. En effet, nous ne connaissons pas l'inquiétude car notre foi infaillible, nous soulage du poids de notre vie et de notre mort.
Le cœur pur ne connaît pas le doute, ni la mélancolie. Le "Bon Homme" se réjouit chaque matin d'avoir une nouvelle opportunité de soulager son prochain. Lorsqu'il regarde derrière lui, il a la récompense d'avoir agi avec honnêteté et sincérité. Lorsque s'annonce le soir de sa vie, il n'éprouve nul remord, ni regret.
La conscience légère et l'âme sereine, il peut se réjouir que ses actes n'ont pas été vains et inutiles. Il sait que le Divin l'accueillera dans un monde de justice et d'amour, où tous sont semblables et égaux pour l'éternité.
Ne faiblissez pas mes Frères, quelque soit l'épreuve qui nous attend, Il guide notre destin, Il reconnaît les siens et veille sur eux avec clémence et bienveillance.
Père Saint, Dieu juste des bons esprits, toi qui jamais ne te trompes, ni ne mens, ni ne doutes — de peur d’éprouver la mort dans le monde du dieu étranger, puisque nous ne sommes pas du monde et que le monde n’est pas de nous — donne-nous à connaître ce que tu connais et à aimer ce que tu aimes.
Que votre vie soit prospère et fertile, qu'elle vous comble, ainsi que vos proches.
Le Penseur- Parfait
- Messages : 94
Date d'inscription : 22/10/2010
Age : 48
Localisation : Albi
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